L'INA éclaire l'actu1996 : le portrait d'un espoir du tennis, le petit Richard Gasquet

Ina
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1996

3 min 29 s

Tous publics

Disponible jusqu'au 09/06/2025

« Portrait d'un surdoué de neuf ans. Il s'appelle Richard Gasquet. Et dans le genre, et bien, ça semble être du jamais vu. » Voilà comment commençait ce long reportage de 1996. À l'époque, le gamin de même pas 10 ans, s'entraînait déjà avec un « 15/4 pour les initiés, ce que Yannick Noah et Henri Leconte, avant lui, n'avaient pas fait ». C'est dire si de grands espoirs reposaient déjà sur lui. « En clair, Richard a pris de l'avance sur ses prédécesseurs. Le geste ample, mais précis, les coups rapides et fluides. À seulement neuf ans, c'est du jamais vu. Un plaisir pour nos yeux, un cauchemar pour ses adversaires » soulignait le commentaire avec une pointe d'iration évidente. Sur les images d'entraînement, Richard Gasquet donnait du fil à retordre à son entraîneur visiblement essoufflé qui confessait « J'en peux plus !». Celui qu'on surnommerait bientôt « le petit Mozart du tennis », faisait déjà l'iration de tous, dès ses quatre ans, dans son club de Sérignan dans l’Hérault comme le montrait des images d'archives familiales présentées dans ce reportage.En savoir plus
Diffusé le 26/05/2025 à 14h32 - Disponible jusqu'au 09/06/2025
« Portrait d'un surdoué de neuf ans. Il s'appelle Richard Gasquet. Et dans le genre, et bien, ça semble être du jamais vu. » Voilà comment commençait ce long reportage de 1996. À l'époque, le gamin de même pas 10 ans, s'entraînait déjà avec un « 15/4 pour les initiés, ce que Yannick Noah et Henri Leconte, avant lui, n'avaient pas fait ». C'est dire si de grands espoirs reposaient déjà sur lui. « En clair, Richard a pris de l'avance sur ses prédécesseurs. Le geste ample, mais précis, les coups rapides et fluides. À seulement neuf ans, c'est du jamais vu. Un plaisir pour nos yeux, un cauchemar pour ses adversaires » soulignait le commentaire avec une pointe d'iration évidente. Sur les images d'entraînement, Richard Gasquet donnait du fil à retordre à son entraîneur visiblement essoufflé qui confessait « J'en peux plus !». Celui qu'on surnommerait bientôt « le petit Mozart du tennis », faisait déjà l'iration de tous, dès ses quatre ans, dans son club de Sérignan dans l’Hérault comme le montrait des images d'archives familiales présentées dans ce reportage.
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