INA ADNFrançois Molins juge la justice française

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2024

30 min 21 s

Tous publics

Disponible jusqu'au 29/04/2029

Pourquoi les gens n’ont pas confiance en la justice ? Pourquoi les femmes sont des justiciable moins protégées que les autres ? Comment les magistrats luttent contre leurs réflexes de classe ? La justice est-elle capable de juger la police ? Pourquoi les politiciens s’en prennent de manière si virulente aux magistrats ? Les juges sont-ils capables de se juger elle-même ? Comment juger un procès historique ? Ces questions qui interrogent le bon fonctionnement de notre justice et de notre démocratie, nous les avons posés à l’ancien procureur François Molins à travers des cas pratiques illustrés par des archives. Des micros-trottoirs de citoyens, le cas Adèle Haenel, l’affaire Omar Haddad ; mais aussi l’affaire Zied et Bouna dont il était procureur et à propos de laquelle il « regrette de n’avoir su trouver les mots » pour apaiser la situation ; un montage de déclaration de politicien ou encore le procès Klaus Barbie, le premier à avoir été retransmis à la télévision. François Molins a également commenté sa célèbre conférence de presse après les attentats du Bataclan en 2015. Très ému par les images, il raconte comment et pourquoi il a décidé de mettre ce dispositif inédit en place. Et pourquoi ses mots ont été si bien perçus à une époque où la parole institutionnelle est tellement remise en cause : « Le procureur de la république c’est un magistrat. Il a des exigences éthiques que n’a pas le politique ».En savoir plus
Diffusé le 18/04/2025 à 21h20 - Disponible jusqu'au 29/04/2029
Pourquoi les gens n’ont pas confiance en la justice ? Pourquoi les femmes sont des justiciable moins protégées que les autres ? Comment les magistrats luttent contre leurs réflexes de classe ? La justice est-elle capable de juger la police ? Pourquoi les politiciens s’en prennent de manière si virulente aux magistrats ? Les juges sont-ils capables de se juger elle-même ? Comment juger un procès historique ? Ces questions qui interrogent le bon fonctionnement de notre justice et de notre démocratie, nous les avons posés à l’ancien procureur François Molins à travers des cas pratiques illustrés par des archives. Des micros-trottoirs de citoyens, le cas Adèle Haenel, l’affaire Omar Haddad ; mais aussi l’affaire Zied et Bouna dont il était procureur et à propos de laquelle il « regrette de n’avoir su trouver les mots » pour apaiser la situation ; un montage de déclaration de politicien ou encore le procès Klaus Barbie, le premier à avoir été retransmis à la télévision. François Molins a également commenté sa célèbre conférence de presse après les attentats du Bataclan en 2015. Très ému par les images, il raconte comment et pourquoi il a décidé de mettre ce dispositif inédit en place. Et pourquoi ses mots ont été si bien perçus à une époque où la parole institutionnelle est tellement remise en cause : « Le procureur de la république c’est un magistrat. Il a des exigences éthiques que n’a pas le politique ».
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Institut national de l'audiovisuel